Vos messages, en public ou en privé,
votre présence ce 23 juin,
vos fleurs ou vos cartes de sympathie
me sont allés droit au cœur…
Il me faut maintenant laisser agir le temps avant de "reprendre la route" de la vie.
Encore merci pour votre soutien qui, je vous l’assure, n’avait rien de virtuel.